Les propriétés anti bactériennes du cuivre et de ses
alliages sont connues et scientifiquement établies de très longue date.Des expériences scientifiques ont été lancées depuis
plusieurs années de par le monde pour vérifier que l’utilisation de matériels
et d’équipements en cuivre ou en alliages de cuivre se traduit, en
environnement hospitalier, par une réduction significative de l’incidence des
maladies nosocomiales.
En France, la Ministre de la Santé a demandé au Haut Conseil
de la Santé Publique et à l’ANSM de procéder à une étude dans ce domaine et de
lui en rendre leurs conclusions.
Début avril 2013, les résultats de la plus importante étude
conduite aux Etats-Unis ont été publiés dans une revue scientifique
internationale. Ils montrent une
réduction de plus de 50% de l’incidence des maladies nosocomiales dans les
services ayant fait l’objet d’un équipement minimal en surfaces de contacts
cuivre.
Les propriétés anti bactériennes du cuivre et de ses
alliages sont connues
et scientifiquement établies de très longue date.
De nombreux scientifiques en sont ainsi venus à penser que
l’utilisation de ces propriétés pouvait présenter un bénéfice pour les patients
hospitalisés, notamment ceux parmi les plus exposés aux risques de
contaminations bactériennes. Cette approche a pris d’autant plus d’importance
avec le développement des bactéries multirésistantes.
LE LIEN s’est intéressé très tôt à ces travaux scientifiques
et aux expériences
qui ont été lancées de par le monde, en particulier aux
Etats-Unis, mais aussi dans bien d’autres pays.
Ces expériences ont pour but de vérifier que l’utilisation
de matériels et d’équipements en cuivre ou en alliages de cuivre se traduit
effectivement, en environnement hospitalier, par une réduction significative de
l’incidence des maladies nosocomiales.
LE LIEN a donc réclamé que des expériences de ce type soient
aussi lancées en France et que, sous réserve de leur validation, elles puissent
conduire rapidement à leur mise en œuvre au bénéfice du plus grand nombre de
patients.
C’est ainsi que deux installations donnant lieu à des
expérimentations sont à signaler en région parisienne: l’une à l’Hôpital de
Rambouillet en services de pédiatrie et de soins intensifs, l’autre à l’Hôpital
Public Nord Parisien basé à Sarcelles en service de soins de suite.
C’est pour LE LIEN une première avancée très significative.
Mais, au-delà, il est important de noter que nous avons été
rejoints et soutenus, dans ce combat, par des parlementaires et, tout
particulièrement, par Hervé Féron, député de Meurthe et Moselle, qui a mis toute
son énergie au service de cette cause.
La conjugaison de ces efforts s’est traduite par une
première et importante victoire. La Ministre de la Santé, Marisol Touraine, nous a
fait l’honneur de sa présence lors de nos derniers États Généraux (14 et 15 février
2013) et, après nous avoir entendus, a demandé au Haut Conseil de la Santé Publique et à l’ANSM de procéder à une étude dans ce domaine et de lui en rendre leurs
conclusions.
Nous avons donc été
entendus ! Les patients ont été, enfin, entendus !
Cette demande de la ministre de la santé est d’autant plus
opportune que les résultats de la plus importante étude conduite aux Etats-Unis
viennent d’être publiés dans une revue scientifique internationale de
référence, Infection control and hospital
epidemiology. Ils montrent une réduction de plus de 50%
de l’incidence des maladies nosocomiales dans les services ayant
fait l’objet d’un équipement minimal en surfaces de contacts cuivre.
Ces résultats ouvrent pour l’amélioration de la qualité de
soins des patients des perspectives extrêmement positives et justifient
pleinement l’engagement de notre association.
En effet,
l’efficacité du cuivre, en environnement hospitalier, est désormais démontrée.
Ces nouveaux faits scientifiques vont évidemment être pris
en compte par les experts mandatés par la ministre de la santé et par tous les
professionnels de santé concernés.
LE LIEN, au cours de ces années, a rassemblé sur ce sujet
une documentation très importante, sinon exhaustive. Une petite équipe, sous la
responsabilité de Claudine Richon, membre du lien, s’est chargée d’en faire un
collationnement.
C’est ce qui permet, aujourd’hui, de mettre tous ces
éléments scientifiques à la disposition des experts aussi bien que du public.
Télécharger le dossier complet des études scientifiques collationnées par LE LIEN
Télécharger le dossier complet des études scientifiques collationnées par LE LIEN
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